Nous accompagnons également les organisations dans la conception de leur matrice de matérialité, étape clé dans la structuration d’une démarche RSE.
La matrice de matérialité est un outil très intéressant car il permet à la fois de cartographier, mais également de hiérarchiser les enjeux RSE d’une entreprise. Cette analyse va considérablement faciliter la prise des “bonnes” décisions car elle amène l’entreprise à tenir compte à la fois des impacts économiques, écologiques et sociaux de façon équilibrée et cohérente. Grâce à notre méthodologie facilement applicable et parfaitement adaptée aux PME, chaque enjeu est défini et priorisé grâce à une analyse d’impacts RSE tenant compte des attentes de l’ensemble des parties prenantes (clients, fournisseurs, associations, pouvoirs publics, banques, etc.).
Au sein de RSE ATTITUDE, nous réalisons la phase d’enquête auprès des parties prenantes internes et externes afin d’évaluer le niveau d’importance accordé à chaque enjeu RSE. Ces enquêtes peuvent être administrées de différentes manières, par courrier, email ou encore en face à face lors d’entretiens semi-directifs qui vont permettre d’aller plus en profondeur pour capter le ressenti et les attentes spécifiques de chaque catégorie de parties prenantes. Ensuite, nous analysons les informations collectées qui sont souvent très riches d’enseignement pour les entreprises. Vient enfin la phase de restitution des résultats qui va permettre la priorisation des actions RSE à mener pour répondre aux attentes de l’ensemble des parties prenantes.
Nous accompagnons également les PME soumises aux obligations règlementaires de reporting extra financier et en particulier à la directive européenne CSRD. Le but est d’aider les PME à réaliser leur matrice de double matérialité imposée par la nouvelle législation et d’établir leur reporting de durabilité intégrant les indicateurs sociaux, environnementaux et de gouvernance.
A noter que le principe de double matérialité a été renforcé dans la Directive européenne CSRD et va concerner de plus en plus d’entreprises à partir de 2024. En effet, les entreprises de plus de 250 employés et avec un chiffre d’affaires supérieur à 50 M€ et plus de 25M€ de total bilan, vont progressivement être concernées (dépassement de 2 des 3 seuils à minima) alors que cette règlementation concernait uniquement les entreprises de plus de 500 salariés auparavant.
Voici pour conclure l’illustration d’une matrice de matérialité réalisée par nos soins dans le secteur des services :
